DIAPORAMA – Vingt-cinq ans après la disparition de la princesse de Galles, retour sur une icône moderne, indépendante et un brin excentrique lors de ses déplacements officiels comme de ses voyages privés.
Lady Diana Frances Spencer a tout juste 20 ans lorsqu’elle épouse Charles, prince de Galles, le 29 juillet 1981. Jusqu’à sa mort, le 31 août 1997, elle enflammera les cœurs par sa générosité, sa proximité, mais aussi son allure, notamment lors des voyages officiels. Mais pas seulement. Dès les années 1990, la princesse de Galles s’implique avec la Croix-Rouge auprès de Halo Trust, une organisation chargée d’ôter celles qui restent enfouies dans les pays en guerre. Et, en 1997, marque les esprits par une image : Diana, protégée par un gilet pare-balles et un casque transparent, traversant un champ de mines en Angola, victime d’une terrible guerre civile depuis 1975. Là-bas, aussi bien qu’en Bosnie, elle rend visite aux rescapés mutilés et alerte sur les blessures que les mines antipersonnel occasionnent. Les maladresses stylistiques d’une princesse timide cèdent la place à une Diana résolue à s’affranchir des codes imposés par la reine Elizabeth II. Vingt-cinq ans après sa disparition, retour en images sur une icône moderne, indépendante et un brin excentrique.
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