Tendances
Publié le :
Dernière Mise à jour : 27.06.2022
Selon une étude de l’IFOP, la location de vacances conserve sa place de mode d’hébergement préféré des Français. Ces derniers indiquent aussi qu’ils privilégient les sites d’annonces et les agences de voyages pour la recherche de leurs locations de vacances.
Tendances de réservations
Pour 36% des personnes interrogées, la location d’un appartement ou d’une maison est le type d’hébergement préféré pour les vacances estivales, en hausse par rapport à 2020 où elle représentait 30%.
44% des répondants sollicitent en priorité les sites d’annonces pour rechercher leur location de vacances. A noter l’importance des agences de voyages et de leurs sites internet, qui arrivent en deuxième position, avec 23% des personnes sondées. Celles-ci sont généralement contactées dans le cadre de voyages à l’étranger (41%).
Les couples (18%) et les familles avec un enfant (17%) sont les plus nombreux à se fier à une agence de voyage pour leur recherche de location de vacances. Ils vivent majoritairement dans des villes de province (18%) ou des communes rurales (17%).
La demande
D’après l’étude de l’IFOP, les attentes en matière de lieu de vacances demeurent inchangées par rapport à la période pré-Covid. En effet, les Français souhaitent avant tout déconnecter du quotidien (57% versus 58% en 2019), à petit prix (49% versus 47% en 2019).
Le prix de la location constitue le premier critère (73%) pour le choix d’un hébergement pour les vacances d’été 2022.Sont cités ensuite la localisation du logement (55%), tandis que moins d’un répondant sur deux (49%) indique le type de logement.
L’émergence du tourisme responsable
Pour une majorité de Français, la crise a contribué à renforcer les préoccupations environnementales en matière de tourisme. Toujours dans le cadre d’un prochain voyage, la préservation de la nature et de l’environnement constitue une préoccupation plus forte qu’avant le début de la crise sanitaire pour 58% des répondants. 44% des personnes interrogées seraient prêtes à payer plus cher pour un séjour écoresponsable. Pour deux tiers d’entre elles, ce montant ne devrait pas dépasser 10% du prix d’un séjour traditionnel.